L'équipe Calame Éditions

Nous sommes là pour vous accompagner dans la réalisation de votre projet d’édition.

Enfance & jeunesse
J’ai grandi dans une cité de la banlieue parisienne où, dès mon plus jeune âge, l’amour des mots et des rimes, particulièrement à travers le rap et la variété française, a nourri ma passion pour l’écriture. Été 1996. À 9 ans, encouragé par mon grand frère Mohamed, j’ai écrit mon premier texte dans notre cave de Barbés. Au premier jet, je n’ai écrit que des insultes, puis je lui ai lu. Il a ri et m’a invité à recommencer en me disant : « Mais écris de vraies phrases ! ». Je suis donc retourné à l’écriture et j’ai rédigé une page entière, dont je ne me souviens que d’une phrase : « X-Boum Bada Boum, j’suis en colère, j’deviens vert ». Pour m’évader d’un quotidien parfois tumultueux et mettre des mots sur mes ressentis, je me suis mis à écrire massivement, pendant des années, inlassablement. Mes premières années d’écriture, nourries par le besoin de libérer la douleur du meurtre de mon frère Abdenabi, à seulement 13 ans et 8 mois, ont donné naissance à des textes sombres, vindicatifs et virulents. Pendant longtemps, je n’aimais pas me relire. Je n’étais pas satisfait de mes textes, mais je continuais tout de même d’écrire avec acharnement. Avec le temps, j’ai trouvé du plaisir dans l’écriture et la relecture jusqu’à ce que je commence à réciter mes textes à mon entourage et à enregistrer en studio. Des cahiers aux murs, des pages horizontales aux surfaces verticales, j’ai vite glissé. Ayant toujours su faire passer beaucoup plus de choses par l’écrit que par l’oral, allant jusqu’à écrire sur les murs, partout où je passais. C’était un mode d’expression inhérent à mon identité. Cette démarche était non réfléchie, pulsionnelle et instinctive. Tirant une satisfaction de donner de la visibilité à mes messages. J'exprimais ma colère et ma révolte tout en marquant mon territoire. C'était comme si j'avais un besoin de laisser des traces pour continuer d'exister. Rester présent dans les pensées des autres. Je voulais que tout le monde puisse me lire et se souvenir de moi. Comme pour ne jamais être oublié. C’était une façon d’entrer dans la mémoire de la ville à travers ses murs. Impactant les consciences par mes écrits. J'avais plutôt tendance à écrire là où il ne fallait pas. Guidé par la colère, l’excitation et l’adrénaline dans ma rébellion, je taguais les espaces publics au quotidien, par pur esprit de provocation. Intégrant cet acte dans le rythme naturel de mes journées, imposant mon histoire aux yeux de tous. Chaque ligne tracée était une transgression soulevée par une quête de reconnaissance. Peu à peu, j’ai transformé mon impulsion en une forme d’art, dans laquelle je prenais plaisir à exercer pour regarder les courbes de mon écriture se raffiner.
Fibre sociale
Après ces premières années d’écriture, la réalité a repris le dessus : déviance, placement, enfermement, errance, perdition, l’impression de devenir fou… Un jour à 30 ans, j’ai demandé à ma mère ce que je pouvais faire de ma vie. Elle m’a répondu : « Éducateur spécialisé. » J’étais diplôme trois ans plus tard, après une formation enrichissante et un travail introspectif éprouvant. Parce qu’avant de tendre la main à d’autres, je devais d’abord me relever moi-même. Puis, j’ai tourné ces nombreuses pages noircies, déchirées, froissées, pour aller exercer en foyer d’enfants placés, puis en institut de rééducation pour enfants présentant des troubles de la violence et du comportement. J’ai tissé des liens forts avec des enfants aux parcours de vie difficiles. J’ai instauré des relations éducatives authentiques, me positionnant activement contre certaines musiques et clips de rap. Ces œuvres, faisant l’apologie du sexe, de la violence, de la drogue et de la délinquance, avaient un impact néfaste sur ces jeunes. J’ai été particulièrement marqué de voir des enfants de 3, 5, 7, 9 ans récitant des textes infâmes et destructeurs, tentant de mimer ces paroles dans leurs vécus, se mettant ainsi en danger et compromettant leur avenir. Cette prise de conscience m’a poussé à lutter contre ce fléau, combattant l’influence négative de ces rappeurs inconscients, sur les enfants et adolescents en quête d’identité. Mon aisance pour l’écriture ne se limitait pas à la rédaction des dossiers sociaux éducatifs ; elle m’a également permis de concevoir et mener des projets variés. J’ai organisé des ateliers d’écriture, d’art numérique, de bricolage, et même de myrmécologie, cherchant à éveiller la curiosité et la créativité des jeunes. J’ai accompagné ces derniers dans l’écriture de leurs propres textes, les guidant pour qu’ils puissent exprimer au mieux leurs pensées, sentiments et émotions. Mon but était de les aider à trouver les mots justes pour exprimer ce qu’ils ressentaient réellement et ce qu’ils souhaitaient communiquer. Conscient que le manque d’expression, surtout face à des émotions fortes non verbalisées, conduit à la violence, et que l’incapacité à mettre des mots favorise les passages à l’acte impulsifs, j’ai orienté mon accompagnement vers la recherche d’exutoires plus sains avec les moyens du bord. Des ateliers où l’on innovait avec différentes techniques, mêlant mes casquettes d’éducateur, rappeur et entrepreneur, pour proposer une approche différente, une méthodologie propre à guider les jeunes dans leur parole, leur réflexion et leur formulation. Je les guidais dans leur discours pour offrir un regard plus posé, plus cohérent, qui se rapproche de la réalité. L’objectif était de les aider à parler d’eux, à extérioriser. Écrire, c’était pour eux une façon de laisser une trace, de dire par où ils sont passés. Parallèlement, j’avais l’ambition d’ouvrir aussi vers la mémoire des anciens, les savoirs de la ville, les récits oubliés. Ceux qui ont vécu avant l’arrivée du numérique, de la dématérialisation, de l’oubli progressif des gestes et des récits, ont des trésors à transmettre. Pour notre descendance, il faut laisser des traces, sinon tout s’efface. Les ateliers d’écriture deviennent alors un espace de transmission, de reconstruction, de reconnaissance. Transmettre des savoirs, des valeurs, une identité, une histoire commune. J’avais déjà en moi ce désir de récolter les récits de vie difficiles, de recueillir ces parcours cabossés, racontés avec le recul de l’âge, la lucidité de l’expérience, les leçons de vie, les valeurs tirées. On écrit pour apporter un regard, pour transmettre un bout de vérité, pour devenir à notre tour un passeur de mémoire. Je ressentais la nécessite de faire circuler ces paroles précieuses, de les transmettre à d’autres, en pleine tempête, qui doutent, qui vacillent, qui n’ont personne pour les éclairer. À ce moment-là, ce n’était qu’un vœu, une conviction intime que ces témoignages pouvaient devenir des repères, des balises, des étincelles d’espoir. Ce projet de devenir éducateur s’appuyait sur ma volonté d’intervenir dans la vie des personnes en difficulté, en tant que cause d’évènement positif. Au fil de ma carrière, j’ai élargi mon champ d’action à d’autres types de publics : adolescents et adultes en situation de handicap, d’addiction, d’exclusion sociale, d’isolement, de marginalisation. En évoluant dans ma pratique, j’ai compris que chaque expérience, chaque rencontre, quelle que soit la population concernée, était une histoire à raconter, un récit en attente d’être écrit.
L'écriture au centre de ma vie
Dans cet élan, j’ai également entrepris un long processus de reconstruction intérieure, cela m’a aidé à poser mon vécu sur papier. Écrire m’a aidé à extérioriser mes pensées afin de mieux les cerner et y apporter un regard extérieur. Il suffit parfois de verbaliser ou d’écrire une pensée pour la voir différemment en la mettant à distance de soi-même. Cette approche m’a permis de comprendre qui j’étais et qui je souhaitais devenir. Animé par la volonté de publier mon propre livre, je me suis rapidement heurté aux difficultés que réserve l’édition aux nouveaux arrivants. J’ai alors fait le constat que le monde de l’édition est un univers complexe et souvent fermé aux nouvelles plumes, dont l’accès semble réservé aux initiés. L‘autoédition de mon premier livre, une étape fondamentale qui s’est déroulée bien avant que l’idée d’une Maison ne germe dans mon esprit. Ce premier ouvrage était un moyen de déposer mon vécu sur papier pour m’en libérer, j’ai décidé de le garder pour moi-même. Il m’a néanmoins permis d’apprendre les premières ficelles du métier d’éditeur : la mise en page, le calibrage, le choix du format, la conception de la couverture, la correction, les formalités administratives, le contact avec les imprimeurs, la gestion des fichiers d’impression… Passionné par les récits de vie, j’ai pu constater que beaucoup aspirent à partager leurs histoires mais sont freinées par la complexité qu’implique cette démarche. Publier un livre va au-delà des mots ; c’est relever de multiples défis. Beaucoup de personnes rencontrant des difficultés d’écriture en sont exclus. Même pour ceux qui aiment écrire, le processus de publication reste un défi considérable, sans compter les obstacles du temps et de la procrastination.
La genèse de Calame Éditions
La richesse et le potentiel de certains vécus inspirants, qui pourraient devenir des phénomènes littéraires marquants, m’ont profondément frappé. Il m’est apparu regrettable que ces barrières empêchent l’émergence de véritables œuvres cultes. Une précarité culturelle où nos histoires disparaissent si elles ne sont pas gravées dans la roche. Face à ces constats, l’idée de créer Calame Éditions est née… Je me suis remis à écrire, déterminé à raconter, dans un livre à venir, mon parcours semé d’embûches et de victoires. Un récit qui m’amène, malgré ma nature réservée, à plonger dans le personnel, car l’écriture touche à l’expression, à la libération, au partage de pensées et de sentiments. Cette histoire est donc plus intime que celle de ma passion pour les fourmis ou les échecs… quoique. Avec l’espoir que mon histoire encouragera d’autres à croire en leurs propres possibles, quelle que soit leur origine. Car, comme me l’a récemment glissé un ami de longue date : On n’aurait pas parié sur moi… C’est le début d’un voyage. D’une aventure. D’un projet. Calame Éditions, j’y ai planté le premier bourgeon d’un aboutissement, dans lequel je place, pour la première fois, un véritable espoir. Discret de nature, j’ai compris que pour mieux être entendu et compris, il fallait oser dévoiler le chemin qui m’a conduit à cet engagement : « Lever le voile sur une partie de mon passé pour lever la voile vers de nouveaux horizons. »
Voir grand
Ce projet vise à ouvrir les portes d’un monde d’édition sélectif et impénétrable. Je me suis engagé avec la vision de le rendre plus accessible et représentatif, en ouvrant des opportunités pour une plus grande diversité de voix et d’histoires, traditionnellement sous-représentées dans cette industrie. Dans un esprit de solidarité sociale, j’ai fondé Calame Éditions pour démocratiser l’édition et lever ces barrières historiques. Ce projet découle d’une envie impérieuse de croiser nos regards afin de nous nourrir les uns des autres pour évoluer et s’élever ensemble. J’ai rassemblé une équipe dynamique et compétente, unie par la volonté de faire bouger les choses. Dans cette perspective d’accessibilité, nous avons également fait le choix de réduire les coûts afin de proposer des tarifs transparents et abordables. Une cagnotte alimentée par une partie des bénéfices de Calame Éditions servira à financer la publication aux personnes démunies, n’ayant pour seule richesse que leur histoire. L’association Calame œuvrera pour la jeunesse, avec des missions de sensibilisation et d’accompagnement, d’insertion sociale et professionnelle, de valorisation des parcours de vie, de lutte contre le décrochage scolaire, l’exclusion, la marginalisation, et de développement d’ateliers éducatifs et culturels en lien avec l’expression, l’écriture et la reconstruction identitaire. Calame Éditions s’engage à transformer vos vécus en récits inspirants, ouvrant la voie à ceux dont les voix méritent d’être entendues. Chaque mot et chaque histoire ont forgé notre mission. Calame Éditions est plus qu’une maison d’édition, c’est le reflet d’un rêve transformé en réalité : un pont entre des histoires non dites et un monde qui a besoin de les entendre ! Je me suis remis à écrire, déterminé à raconter, dans un livre à venir, mon parcours semé d’embûches et de victoires. Un récit qui m’amène, malgré ma nature réservée, à plonger dans le personnel, car l’écriture touche à l’expression, à la libération, au partage de pensées et de sentiments. Cette histoire est donc plus intime que celle de ma passion pour les fourmis ou les échecs… quoique. Avec l’espoir que mon histoire encouragera d’autres à croire en leurs propres possibles, quelle que soit leur origine. Car, comme me l’a récemment glissé un ami de longue date : On n’aurait pas parié sur moi… C’est le début d’un voyage. D’une aventure. D’un projet. Calame Éditions, j’y ai planté le premier bourgeon d’un aboutissement, dans lequel je place, pour la première fois, un véritable espoir. Discret de nature, j’ai compris que pour mieux être entendu et compris, il fallait oser dévoiler le chemin qui m’a conduit à cet engagement : « Lever le voile sur une partie de mon passé pour lever la voile vers de nouveaux horizons. »
Portrait de Tarek Benaoum, ambassadeur de Calame Éditions

Notre Ambassadeur

Tarek Benaoum

Ambassadeur d’honneur
Calligraphe & Artiste visuel

Tarek Benaoum est un artiste franco-marocain né en 1978 à Salé. Il découvre le graffiti à l’adolescence dans les rues du 20e arrondissement de Paris, où il signe sous le nom de CLONE. Passionné par la lettre, il se forme à la calligraphie au Scriptorium de Toulouse. Il développe un style personnel mêlant gothique, arabe, hiéroglyphes et alphabets inventés. Ses œuvres prennent vie sur les murs, dans des lieux publics comme privés, en France et à l’international. Il a collaboré avec Philippe Starck, Guerlain, ou encore peint à l’Institut des Cultures d’Islam, aux Bains Douches, à Miami ou à Los Angeles. Tarek inscrit les mots dans la matière comme on grave une mémoire. Aujourd’hui, il devient Ambassadeur d’honneur de Calame Éditions.

l'équipe Calame Éditions

Mathieu, expert marketing digital et webdesigner de Calame Éditions

Mathieu Betton

Expert Marketing & Communication, Webdesigner & Gestionnaire SEO

Né en 2000 à Niort, je vis actuellement à Nantes.

Je suis diplômé d’un Master 2 en Digital Marketing, Communication & Médias Sociaux à l’ISEG Nantes, je suis actuellement salarié en agence de relation client et entrepreneur en parallèle.

Ma mission principale est de renforcer l’image et la notoriété de Calame Éditions sur web. Je m’occupe notamment du développement de notre site internet.

Aujourd’hui, je suis fier de contribuer au développement de Calame Éditions.

Pour toute question, n’hésitez pas à me contacter.

Souleymane Boel, scénariste et chargé de communication chez Calame Éditions

Souleymane Boel

Responsable du pôle Scénario
Chargé de communication
Scénariste, Auteur & Animateur

Né en 1976 à Trappes, Souleymane est écrivain, scénariste et militant engagé. Son œuvre, marquée par l’anticolonialisme et les enjeux sociopolitiques, se distingue par un style qu’il nomme Mind-Jacking. Il publie son premier livre en 2013 (Hacker From Africa), suivi de nombreux titres percutants comme Jusqu’à la mort du franc CFA ou La mégalopole des balles perdues.

Il a également scénarisé plusieurs films primés : Belles Paroles (251 prix internationaux), Une chute stupéfianteGonflé à Bloc et Résilience . Animateur des émissions La plume des quartiers sur Radio Fréquence Paris Plurielle et Don’t Give Up Show sur Radio TV Kardeche, il donne la parole aux invisibilisés.

Scénariste et chargé de communication de Calame Éditions, il y soutient les auteurs engagés, tout en poursuivant son combat pour une littérature et un cinéma porteurs de sens.

Imed Khelfa Sahel en action – réalisation, tournage, interview ou exposition

Imed Khelfa Sahel

Réalisateur, photographe, journaliste visuel

Imed Khelfa Sahel construit une œuvre où l’image devient mémoire, où la technique se met au service du réel. Réalisateur, photographe, journaliste visuel, formateur et acteur culturel, il porte une vision artistique traversée d’une profonde humanité. Depuis plus de deux décennies, il documente, capte, sublime. Sa maîtrise de la photographie noir et blanc, son approche documentaire et sa sensibilité artistique font de lui une figure rare et authentique de l’audiovisuel engagé.

Formé dans de nombreux centres culturels et écoles de cinéma à travers le monde, Imed n’a jamais cessé d’explorer, d’expérimenter et de transmettre. Il a été acteur principal de films, réalisateur primé, photographe d’exposition pour les Jeux Olympiques 2024, organisateur de festivals et animateur d’ateliers à destination des publics de tous âges. Sa filmographie est internationale, sa pensée libre, son engagement constant.

Yannick Deslandes, ancien détenu devenu auteur engagé et fondateur de Mur'Mures chez Calame Éditions

Yannick Deslandes

Responsable du pôle Sensibilisation Carcérale & Prévention de la Récidive

Après 22 années passées derrière les murs des prisons pour trafic de stupéfiants, j’ai reconstruit ma vie à force de volonté, d’écriture et d’engagement. Aujourd’hui, je témoigne pour sensibiliser, prévenir, et transmettre un message d’espoir.

Mon autobiographie “Au-delà les murs” retrace ce parcours hors du commun : de l’enfermement à la résilience, de l’ombre à la lumière. À travers une plume sincère et percutante, j’y décris sans détour la réalité carcérale, la solitude, les violences, mais aussi la force de la reconstruction et de l’éducation. Ce livre est à la fois un cri, un outil de prévention, et une invitation à la réflexion sur le système pénitentiaire.

Je suis aujourd’hui fondateur de l’association Mur’Mures, un projet de terrain à fort impact social, dont l’objectif est de sensibiliser aux réalités carcérales, à la réinsertion sociale, aux conséquences du trafic de stupéfiants et à la prévention de la délinquance.

Mathilde Blin, assistante éditoriale chez Calame Éditions, rédactrice et correctrice professionnelle

Mathilde Blin

Assistante éditoriale

Je m’appelle Mathilde Blin, j’ai 28 ans et j’habite en Bretagne, au nord du Finistère.

Diplômée en 2019 d’un Master Métiers du livre et de l’édition, j’ai ensuite exercé pendant presque cinq ans le métier de responsable librairie. 

Mes études et mon attrait pour la langue française m’ont permis d’acquérir des bases solides dans le domaine de la correction, ainsi qu’une bonne aisance rédactionnelle. 

J’ai créé mon entreprise « Écrits Blin » afin de mettre mes compétences au service des particuliers et des entreprises, dans les domaines de la rédaction, transcription et correction.

Mohamed, réalisateur et responsable du pôle vidéo chez Calame Éditions

MOHAMED

Réalisateur & Responsable du pôle Motion Design & Montage Vidéo

Passionné par le storytelling percutant, je transforme des demandes en vidéos sur-mesure qui marquent les esprits. Spécialiste d’Adobe After Effects et de Premiere Pro, j’adapte chaque création avec une obsession : déclencher l’engagement. Chez Calame Éditions, je mets ma créativité au service des projets pour offrir des vidéos qui captivent, inspirent et donnent envie d’en voir plus. En parallèle de mon amour pour le motion design, je cultive une curiosité insatiable pour les nouvelles tendances digitales.

Ferhat, expert conversion eBook chez Calame Éditions

Ferhat

Expert en mise en page d'ebooks

Spécialisé dans la mise en page professionnelle d’ebooks destinés à être publiés sur Kindle. Passionné par le design et la mise en forme, j’ai développé une expertise dans l’adaptation des manuscrits pour qu’ils répondent parfaitement aux normes techniques de la plateforme Kindle. De la mise en page structurée et attrayante des ebooks ; à l’optimisation des fichiers pour garantir une compatibilité parfaite avec les appareils Kindle. L’application des règles de typographie et de design pour une lecture fluide et agréable. La gestion des formats spécifiques comme EPUB, MOBI et PDF. Je suis ravi de mettre mon expertise au service de Calame Éditions afin de contribuer à la réussite des projets éditoriaux.

Anita, bêta-lectrice, correctrice et metteuse en page chez Calame Éditions

ANITA

Bêta-lectrice & Correctrice & Metteuse en page

J’ai découvert l’univers de la lecture à mes six ans, en entrant pour la première fois dans une bibliothèque. J’ai découvert cet amour que nous avons tous en commun, en tenant mon premier livre. Maintenant, j’aime partager ce bonheur, ce plaisir que nous procure les livres, en accompagnant les auteurs. Que cela soit en tant que bêta-lectrice pour donner des conseils ou en tant que prête-plume pour embellir et donner vie à leurs merveilleuses histoires.

Photo de Fares

Farès

Community Manager

Community manager engagé de Calame Éditions, j’assure notre présence sur les réseaux et fédère une communauté autour de nos valeurs littéraires et sociales.

 
 
 
Graphiste travaillant sur une composition visuelle pour Calame Éditions

Michel

Graphiste

Je suis né dans une petite ville provinciale de Smolensk, à 400 km de Moscou. Fort d’une longue expérience en direction artistique et design graphique, j’apporte à Calame Éditions une esthétique puissante et une exigence visuelle au service des récits engagés. Mon parcours international et son œil affûté nourrissent chaque projet éditorial, chaque identité graphique, pour faire rayonner les voix que nous portons.

Hervé, journaliste Bondy Blog partenaire de Calame Éditions

Hervé

Journaliste

Mon parcours est atypique ! J’ai été employé de restauration, puis bagagiste pendant 6 ans à Disney. Malheureusement, Mickey n’a pas été tendre avec moi ! Lecteur et curieux insatiable, j’ai été rattrapé par mon envie irrépressible d’écrire qui sommeillait en moi depuis l’enfance. Cela m’a mené vers le journalisme. J’ai donc rejoint le Bondy Blog en mai 2019, avant d’obtenir un diplôme de journaliste multimédia alors que mon parcours scolaire n’était guère brillant ! Depuis, je suis toujours bagagiste à Disney, mais aussi journaliste, en attendant de pouvoir vivre de ce métier. Au BB, j’aiguise principalement ma plume sur des sujets de société, avec un but essentiel : donner la parole aux oubliés pour nourrir le débat public. Finalement, je suis un peu à l’image du Bondy Blog : atypique !

Nathalie, rédactrice, correctrice et maquettiste chez Calame Éditions

Nathalie

Rédactrice & Correctrice & Metteuse en page

Un grand-père écrivain public, une maman institutrice, une fille auteure… peut-on dire que la langue française est dans mes gènes ? Je m’appelle Nathalie et, depuis quelques décennies, je suis passionnée par les mots et chaque fois émerveillée par tout ce qu’ils peuvent véhiculer.
Que fais-je quand je ne me plonge pas dans un texte pour le corriger ?… Je lis, mais aussi, je jardine, rénove ma maison, restaure des meubles, fais de grands puzzles et dès que possible, je profite de ma Bretagne natale et de l’océan à travers de longues promenades.

Découvrez toute l’équipe engagée derrière ces projets sociaux et littéraires Notre équipe